Contre toi, des millions de livres, des milliards de palpitantes pages vierges, de vies inachevées, Tes malfaisants rejetons sont encore de ce monde. Ceux qui ont des oreilles et qui ne veulent pas entendre les silencieux hurlements, qui ferment les yeux et hume avec nostalgie la fumée des enfants rôtis.
Au nom de Marie, d’Arwing et d’Ala, dont ils se dire s’inspirer en n’en pervertissant l’esprit.
L’humanité doit rejeter cette abomination.
 

6 millions de martyrisés, parmi lesquels Combien de famille ?
Combien d’enfants ?
Combien de père et de mère ?
Combien de grands-parents ?
Combien de soeurs et de frères ?
Combien d’oncles, de tantes, de cousins ?
Combien d’handicapés, d’aveugles ?
Combien de savants, d’artistes, de poètes ?
Combien de croyants en dieu ? combien de croyant en l’homme ?
Peut-être que celui qui pouvait sauver l’humanité était parmi eux !
 

Combien d’amis ? Combien d’amoureux ? d’amants ? de jeunes mariés ? de femmes enceintes ? de nourrissons ?
Combien d’espoir non réalisé ! combien de désespoir hélas réalisé !
Ton combat est celui de la mort.
Le notre est d’essayer de permettre la vie !
Nous cherchons les graines vénéneuses de ton livre pour les détruire.
Maudits soient ceux qui les cherchent pour les faire germer !